Cinq conseils pour des sauvegardes et restaurations efficaces dans les environnements virtuels
Dans ce livre blanc 2012, les experts de la protection des données virtuelles de Quest livrent cinq conseils pour doper l’efficacité de la sauvegarde et de la restauration dans les environnements virtuels.
La virtualisation gagne rapidement du terrain, en particulier parmi les petites et moyennes entreprises pour lesquelles le temps et l’argent sont toujours des considérations importantes. Elle apporte un gain significatif de temps, d’investissements et de main-d’oeuvre dans divers domaines : approvisionnements, administration, déploiement, exploitation, fiabilité, restaurabilité.
La virtualisation peut simplifier la gestion de tout l’environnement. Elle permet aux administrateurs des PME de « faire plus avec moins ». Par ailleurs, le PRA est nettement plus facile avec la virtualisation, à condition que l’administrateur adopte des techniques plus récentes et plus efficaces, conçues pour fonctionner avec l’infrastructure virtuelle.
Dans le même temps, comme toutes les technologies, la virtualisation crée des difficultés qui peuvent rogner les économies réalisées et même dégrader la protection de l’infrastructure. Dans ce document, les spécialistes de la protection de données de Quest proposent cinq conseils pour des sauvegardes et restaurations efficaces, dans le but de vous aider à éviter les difficultés qui pourraient vous empêcher de protéger intégralement votre patrimoine virtuel et votre infrastructure.
Vous allez voir que la protection des données virtuelles peut être simple et peu coûteuse tout en étant efficace, et découvrir comment maximiser votre investissement en infrastructure virtualisée.
Conseil n°1 : Minimisez la quantité de données à protéger
Vous pouvez réduire la quantité de données à sauvegarder, tout en vous assurant une restauration à 100 %, en utilisant des technologies qui filtrent et écartent les données non modifiées ou supprimées.
Les outils utilisant le suivi des blocs modifiés (CBT) dans VMware éliminent la sauvegarde de certaines données superflues mais n’empêchent pas la sauvegarde et la restauration des données effacées. Cela est dû au fait que Windows utilise l’espace libre non utilisé pour stocker les fichiers supprimés.
Ces données effacées ne sont éliminées que lorsqu’elles sont écrasées afin de faire place à de nouvelles données. Les machines virtuelles hébergeant des applications dont les données changent fréquemment peuvent contenir des gigaoctets de données supprimées.
Malheureusement, ces fichiers sont considérés comme des blocs de données modifiés et les outils utilisant uniquement le CBT les sauvegardent aussi. Les temps de sauvegarde et de restauration sont ainsi plus longs que nécessaire et le réseau est surchargé. Nous vous conseillons de choisir un outil qui ne sauvegarde pas les données supprimées.
Vous pourrez ainsi sauvegarder plus souvent, et avec une granularité plus fine. Vous économiserez à la fois sur le stockage, le temps de sauvegarde, la bande passante et le temps de restauration et améliorerez ainsi vos objectifs acceptables de perte de données (PDAM) et de durée maximale d’indisponibilité (DMIA).
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