Le growth hacking est une technique de marketing qui a pour objectif la croissance globale et rapide d’une entreprise. Même si cette pratique n’est apparue que depuis peu, elle est utilisée par plusieurs entreprises.
Qu’est-ce que le growth hacking ? Comment il fonctionne ? Michele Tecchia va apporter des explications sur ce concept.
Biographie de Michele Tecchia
Michele Tecchia est né à Monaco le 13 juin 1980. Il a fait ses études en France, à Grenoble. Michele Tecchia a d’abord étudié les sciences politiques et a obtenu un Master en Science Po. Puis il a étudié à l’École de Commerce à l’Idrac et a découvert sa passion pour la communication.
Il a ensuite travaillé dans sa propre startup en tant que gestionnaire, marketeur, expert en création du contenu… Il a élargi ses expériences professionnelles en travaillant pour les grandes marques telles qu’Orange.
Après plusieurs années de parcours commercial et communication dans le secteur du digital advertising et avec l’appui de plusieurs investisseurs, il a pu monter sa propre structure à Monaco. Selon Michele Tecchia : » ensemble nous travaillons étape par étape sur les clientèles cibles, sur les parcours d’achat, sur le contenu, les offres et les services à proposer pour aboutir à des plans d’action clairs et actionnables. » En effet, sa société propose des stratégies de marketing efficaces telles que le growth hacking, le marketing digital, le SEA/SEO/Media Buying, la stratégie médiatique… pour développer rapidement une entreprise.
Michele Tecchia : qu’est-ce que le Growht Hacking ?
Le growth hacking est composé de deux mots « piratage » et « croissance ». Il nécessite donc la maîtrise des stratégies et des techniques du codage et du marketing. Toutefois, le growth hacking ne se limite pas dans la connaissance théorique du marketing digital, mais il exige un état d’esprit créatif dans le but d’apporter une croissance importante d’une entreprise aussi bien à court qu’à long terme et ceux à moindre coût. En effet, la créativité représente un pilier important dans le Growth hacking. Il permet de se démarquer de la concurrence.
Cette approche marketing nécessite également de l’analyse de marché et du positionnement afin de corriger les actions de communication à mener pour améliorer la visibilité et le positionnement d’une marque, d’un produit ou d’un service.
En somme, le growth hacking étudie le produit, analyse les comportements des clients en adoptant des techniques digitales efficaces. En effet, il requiert une certaine compétence en marketing digital, en analyse de data et au webdesigner. Le growth hacking a donc pour objectif principal d’utiliser les meilleures techniques digitales pour assurer la croissance rapide d’une entreprise, d’un produit, d’un service ou d’une marque avec des budgets limités en obtenant des résultats très efficaces.
Pour que le growth hacking soit efficace, il est indispensable d’utiliser un outil comme l’AARRR.
Michele Tecchia : le framework AARRR : un outil indispensable pour le Growth Hacking
Le framework AARRR se divise en 5 différentes étapes pour bien réussir le gwoth hacking : l’acquisition, l’activation, la rétention, la recommandation et le revenu. Selon Michele Tecchia, il est important de passer par ses 5 étapes pour réussir le grotwh hacking.
– L’acquisition : comment attirer les visiteurs dans le site web ?
Cette première étape consiste à créer du trafic et du leads dans le site web afin d’amener des prospects qualifiés. Cette étape permet de maximiser le taux de conversion des leads en client. Le but étant ainsi d’amener de nouveaux clients.
Il est donc important de bien définir les stratégies d’acquisition et les outils de communication à utiliser pour créer du trafic. Dans le growth hacking vous pouvez utiliser le référencement naturel ou payant, les réseaux sociaux, l’e-mailing, le marketing content… Vous pouvez également passer par d’autres canaux comme la presse, les panneaux publicitaire… cependant, il faut bien déterminer les canaux qui coûtent moins cher, mais qui apportent beaucoup de lead et d’un taux de conversion maximum.
– L’activation : comment induire les visiteurs à agir ?
Une fois que vous avez acquis des clients dans votre site, il est important de les convaincre à passer à l’action : c’est l’étape de l’activation.
Afin d’amener les clients à acheter vos produits ou services, il faut utiliser des techniques qui leur permettent de comprendre l’utilité et l’importance de vos offres. Vous pouvez par exemple recourir à la méthode de l’A/B testing, afin d’inciter les prospects à ouvrir un compte d’utilisateur sur votre site. Une fois que vous arriverez à les convaincre, les clients vont être « activés » et utiliseront vos produits ou services. Pour que le taux d’activation soit important, il faut que la première expérience du client soit réussie.
– La rétention : comment fidéliser ses clients ?
Maintenant que vous avez réussi à pousser les visiteurs à l’action, il faut adopter des bonnes méthodes pour qu’ils reviennent régulièrement. Parfois les gens utilisent vos produits une fois et ne reviennent jamais, c’est pour cela qu’il faut bien traiter « la rétention ».
La rétention englobe toutes les actions de fidélisation de clients. Pour cela, vous avez plusieurs choix de technique de fidélisation entre autres le l’é-mailing personnalisé, l’amélioration du service clientèle, les articles de blogs, les offres promotionnelles, le lancement de nouveaux produits…
– La référence : comment amener les clients à devenir ambassadeurs de votre marque ?
Une fois que vous avez réussi à garder et à fidéliser les clients, il faut passer par la phase du « référence » aussi appelée « recommandation ». Le but de cette quatrième étape étant d’utiliser les clients satisfaits à parler de votre marque et la recommander à leurs entourages.
La recommandation fait partie d’une meilleure stratégie pour générer de nouveaux prospects. Ainsi, pour que vos clients fidèles deviennent ambassadeurs de vos produits ou de votre marque, il faut utiliser les bonnes méthodes comme l’offre de cadeau. Vous pouvez donc recourir à l’offre de carte de fidélité, une réduction, de bon d’achat, des offres de parrainage…
– Les revenus
Une fois que vous avez des clients fidèles, il faut s’occuper de votre chiffre d’affaires. La dernière étape de l’AARRR consiste à générer des revenus rapidement. Il faut pousser les clients à acheter vos produits ou à faire appel à vos services. Dans cette étape, il faut établir une technique de vente efficace. Le growth hacking est réussi lorsque vous arriverez à augmenter vos ventes rapidement.
Pourquoi adopter le growht hacking ?
Le growth hacking fait partie d’une des meilleures techniques pour se démarquer de la concurrence. Il est aussi un meilleur moyen pour accroître sans cesse son portefeuille client à moindre coût.
Selon Michele Tecchia « le growth hacking est une solution indispensable et rentable pour les startups et les entreprises à faible budget ». En effet, grâce à l’évolution sans cesse du digital, le growth hacking vous pousse à chercher de nouvelles actions pour attirer des clients, pour les inciter à acheter et à les fidéliser afin d’accroître vos ventes.
Le growth hacking est un moyen sûr pour développer rapidement une entreprise. Plusieurs entreprises ont connu une évolution exponentielle grâce à cette technique à savoir IRBNB, Netflix, Dropbox…
IRBNB est l’un des exemples les plus connus de réussite en Growth hacking. La plateforme communautaire de location de logements entre particuliers a utilisé cette technique pour se développer et pour augmenter sa popularité rapidement après un démarrage difficile.
sur son site : https://www.michele-tecchia.com/